Jelena Novakovic en cinq dates
1999 : participe au sauvetage des livres du centre culturel français de Belgrade
2000 : nommée professeur titulaire à l'université de Belgrade
2003 : participe à Paris à un colloque consacré à Jacques Prévert
2004 : organise à Belgrade un colloque sur les relations franco-serbes
2010 : assure la direction de la revue Mélusine pour le numéro consacré au surréalisme serbe
« C'est mon père qui a voulu que j'apprenne le français à l'école primaire, se souvient-elle. Et j'ai eu immédiatement de bonnes notes, ce qui m'a décidé à poursuivre. » Elle soutient une thèse de doctorat sur « la nature dans l'œuvre de Julien Gracq » et suit un cursus universitaire sans faute qui la conduit à la chaire de littérature française de la faculté de philologie de Belgrade.
Gracq aura sans conteste été l'un de ses maîtres dans l'apprentissage du français et celui qui lui a transmis l'amour de la France. « Tout a commencé par une lettre que je lui ai adressée. Il m'a accordé un premier rendez-vous à Paris pour parler de ma thèse et, par la suite, à chaque fois que je suis retournée à Paris, nous avons déjeuné ensemble. »
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